« La pronoïa est le contraire de la paranoïa, où vous imaginez que tous les éléments sont contre vous : la pronoïa, c’est quand l’Univers tout entier conspire à votre Bonheur, que tout est parfaitement aligné pour vous combler ! »

Aurélie Dufour, énergéticienne – Spiritualité, Nature & Bien-être
Le nombre 111, que je vois très régulièrement sur des plaques d’immatriculation par exemple, indique un besoin de réaligner nos pensées en fonction de nos objectifs les plus hauts pour notre âme.
En effet, nos pensées deviennent nos paroles, nos paroles deviennent à leur tour nos actes, et nos actes définissent notre façon d’être. Un beau cercle vertueux à entretenir du mieux qu’on peut !
Le 1 symbolise une certaine droiture, un alignement parfait. Répété trois fois, il est amplifié en ce sens, car le 3 lui-même est synonyme de force, de stabilité.
Si le silence est d’or, il est certain que le silence est libérateur !
Parfois, dans une situation de conflit, plutôt que de répondre par de l’énervement pour s’expliquer (ce qui arrive souvent quand l’égo est très titillé, qu’on a très envie de se fâcher et de se défendre), il vaut mieux se taire. Le silence apaise et permet toujours de trouver une solution, nettement plus belle et plus sage, qui vous élève !
J’ai commencé à lire hier soir le dernier Werber : « Depuis l’au-delà ». J’ai eu un mal fou à m’arrêter (je me suis couchée à 1 heure du matin tant j’étais captivée par le récit !). Je recommande donc ce roman, sans hésitation !
L’histoire ? Gabriel Wells, un écrivain en manque de reconnaissance, va s’allier avec une médium, Lucy Filipini, pour résoudre une énigme, et non des moindres, puisqu’il s’agit de trouver qui l’a assassiné !
L’intrigue est bien menée : le suspense est là, et on reconnaît la « patte » de Bernard Werber, avec ses inclusions de l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. J’espère juste que la fin sera bien amenée, car c’est le reproche que je fais habituellement aux romans de Werber, c’est ce côté fin qui arrive d’une façon abrupte. On reste frustré et on aurait imaginé quelque chose de plus étoffé… A voir donc !
J’ai découvert il y a peu, près de chez moi, le gué de la Roche, près des Arcades à Joué-sur-Erdre.
Tout d’abord, quand on y arrive par les petites routes de campagne, on est comme « accueillis » à un carrefour, par Marie, toute immaculée et tenant l’enfant Jésus dans ses bras :
Le site en lui-même est apaisant, un poil sauvage, invitant à se détendre et à oublier ses soucis, à calmer le mental quand on sent que celui-ci nous prend (un peu trop !) la tête. J’ai envie de dire, littéralement, un endroit « ressourçant » :
C’est l’occasion d’imaginer que l’eau nettoie notre tête trop remplie de tout et de rien, de négatif qui nous empêche d’apprécier l’instant présent. Essayer cette technique ne coûte pas grand chose et ça marche : le bruit de l’eau suffit déjà à s’éveiller à la Nature et à commencer à mettre au second plan les soucis. C’est un bon début en soi !
En plus, on y trouve plein de chemins de randonnée, qui offrent un large panel de promenades. Un endroit à voir et à revoir (ma fille d’un an et demi aime tellement ce lieu qu’elle dit : « Au revoir, l’eau ! » à chaque fois qu’on rentre) !