Aujourd’hui, je partage quelques réflexions personnelles quant au TDA/H (trouble et déficit de l’attention, avec ou sans hyperactivité).
En vrac, voici quelques pistes énergétiques et psycho-émotionnelles qui me sont venues, mardi, pour expliquer des sources possibles à ce problème de concentration :
- un manque d’ancrage (« la tête dans la lune » et mille pensées qui nous traversent, sans pour autant passer à l’action pour une pensée précise)
- un manque de spacialisation et de repérage dans la dimension « temps » (on est trop dans le mental et on est persuadé qu’on n’aura jamais le temps de faire ceci ou cela…) : « je n’aurai jamais le temps », « je n’ai plus le temps »…
- des entités qui nous parasitent et nous détournent de ce qu’on doit réellement réaliser (avec pompage d’énergie à la carte)
- un corps énergétique décalé, ou un émotionnel/mental envahi par les émotions d’une tierce personne (penser à purifier ses corps énergétiques et à couper les liens toxiques)
- une blessure d’abandon très présente qui se ravive par moments très fortement et nous fait « oublier », « abandonner », ce qu’on doit faire
- cette même blessure d’abandon, combinée à d’autres (rejet, injustice…) qui nous fait nous agiter pour montrer aux autres qu’on est bien là, plus par besoin de plaire, de nous plier à des exigences extérieures – une forme de dépendance affective -, que par réelle nécessité
- un mode de vie qui privilégie l’individu et qui fait qu’une seule personne doit réaliser l’impossible, devoir penser à tout, tout gérer, comme c’est hélas de plus en plus le cas (isolement, divorce…)
- cette même cause qui nous fait « papillonner », passer d’une tâche à l’autre, sans avoir terminé ce qu’on avait commencé, avec une sensation d’étourdissement, d’en « avoir plein la tête », « avoir la tête qui tourne »…, et « ne plus savoir où donner de la tête » –> d’où un manque d’ancrage, et le début d’un cycle sans fin où on privilégie le mental à toute autre forme de pensée/action (*)
(*) : Attention à ce que ce ne soit pas les signes avant-coureurs d’un burn out…
L’idée pour contrer ce TDA/H est donc d’oser prendrele temps qu’il faut, pour se recentrer, revenir pleinement à soi, être aussi bien aligné les pieds sur terre que connecté au ciel, et se sentir bien.
Et accepter l’idée qu’on ne peut pas tout faire, qu’il est nécessaire de bien planifier, spacialiser, ordonner, prioriser…
Accepter que si quelque chose n’est pas encore fait, ou fini, ce n’est pas grave, on pourra y revenir et réussir plus tard. Ce n’était pas encore le moment, c’était plus notre mental qui nous poussait à agir que notre coeur.
Encore une fois, lâcher prise, et apprendre à être efficient, efficace, plutôt que productif et « rentable ».
Quand c’est possible, agir quand on sent que c’est le bon moment, pour gagner en efficacité et en joie de vivre (une activité accomplie en conscience est toujours mieux réussie, et souvent plus vite, que la même chose ressentie comme une énième corvée à faire)…
Il y a aussi chez les gens ayant un TDA/H un côté perfectionniste, et très créatif, avec la peur de mal faire : plutôt que d’agir, elles mentalisent, « gardent tout en tête », ont peur de l’échec, de mauvaises remarques (la peur d’être jugé, peur du regard extérieur).
Donc voilà, c’était juste quelques pensées personnelles pour résoudre en pleine conscience ce qui pourrait être attribué au TDA/H.
Encore une « pathologie » à la mode, mais qui sait, le premier facteur ne serait-il pas tout simplement l’individualisme ?
Prenez bien soin de vous ! Et allez à dire à Speedy Gonzales dans votre mental d’aller faire un tour à vélo en pleine campagne, ça lui fera du bien !
En gros, accordez-vous de retrouver la Paix et le calme intérieur, pour vous sentir bien.
Zénitude !!! 🙂
Nam’Asté !
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