S’autoriser tout simplement à se dire « je t’aime », surtout quand ça va mal : eh bien, ça soulage !
J’ai découvert cette semaine le livre « Peu importe ce qui arrive, Aimez ! », de Matt Kahn et l’auteur aborde cette affirmation de soi comme source de délivrance. J’ai donc testé et comme je trouve cette idée très positive, j’ai eu envie de la partager sur mon blog :
S’accorder le droit de se dire « je t’aime », c’est s’apaiser, se détendre et laisser sa respiration se relâcher. C’est accepter l’instant présent, peu importe ce qui se passe. Que ce soit bien ou mal, on se recentre !
C’est calmer son enfant intérieur, le rassurer et lui dire que tout va bien. C’est honorer sa pureté et son innocence.
« Je t’aime », à répéter pour calmer cet enfant, qui est sûrement inquiet, a honte de lui, peur du monde extérieur…
Se dire « je t’aime », c’est réassurer son indépendance, son autonomie affective, son droit d’exister sans devoir se soumettre à la volonté des autres. Loin d’être un mantra de satisfaction de l’ego, « je t’aime » signifie s’accorder le succès, même avec un apprentissage par l’erreur, et non devoir atteindre une prétendue perfection du premier coup.
Se dire « je t’aime » à soi-même (en langage des oiseaux, cela donne « soi-m’aime »), c’est s’accorder une note de douceur.
C’est remonter à la surface, ressurgir à la lumière, se dire « ouf ! » et retrouver un soulagement tant attendu, qui vient de notre âme et non d’une aide extérieure.