L’équinoxe d’automne, qui a eu lieu ce week-end, nous plonge véritablement dans les énergies de cette douce saison, qui m’a inspirée aujourd’hui, un texte pour visualiser ces belles fréquences et s’en imprégner, pour revenir en douceur à soi.
L’automne
« L’automne… qu’on attendait tant… Cette belle saison, emprunte de rêveries, un temps de contemplation, de retour au calme…
Après la torpeur de l’été et son agitation, quoi de plus doux que de se poser et d’admirer, patiemment, tranquillement, les feuilles qui tombent une à une des arbres ?
Comme un tendre rappel de notre enfance, de ces souvenirs, où nous nous abandonnions volontiers à ce genre d’exercices ?
Un moment juste pour soi, pour se laisser aller à sa rêverie, revenir à l’ici et maintenant, et pourquoi pas, subrepticement, repenser à une scène similaire de son enfance ?
Cette détente qui peut nous amener soudain, un sourire, une sensation de chaleur, un relâchement des tensions de notre visage, et de notre corps tout entier.
Ce retour à soi, à l’écoute de ses pensées et de son coeur, en écho parfait à l’énergie naturelle de l’automne : apprendre à lâcher prise, savoir se détacher du superficiel…
Revenir à l’essentiel, à ce qui compte vraiment, comme les arbres qui laissent peu à peu partir de leurs branches toutes leurs feuilles, et dont la sève retourne aussi peu à peu, aux racines, à la terre.
Retrouver ainsi sa force intérieure, sa vigueur, dans le détachement, l’abandon total à soi, pour revenir avec sagesse à son authenticité.
Automne… Authenticité… Voilà deux mots qui résonnent bien ensemble !
L’automne ne serait-elle donc pas la saison du retour à notre authenticité ? »
J’ai pris le soin d’enregistrer un audio de ce texte, pour vous inviter, si cela vous parle, à un voyage intérieur, à la (re)découverte de son authenticité :
Je vous souhaite une agréable lecture et une bonne écoute ! Prenez bien soin de vous dans ce nouveau bain d’énergies automnales !
A très bientôt ! Nam’Asté !
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Qu’est-ce qui est acceptable en amours, et qu’est-ce qui ne l’est pas ?
Aujourd’hui, je souhaite partager mes dernières réflexions sur le sujet, car vous êtes quelques-uns en ce moment à vous sentir confus dans vos relations amoureuses, hésitants, ou même déçus et en plein questionnement, remise en question…
En fait, jusqu’où doit-on aller, doit-on accepter d’aller, avant de reconnaître qu’il y a une forme de toxicité, que la relation amoureuse a quelque chose de stérile, et qu’il serait préférable d’en arrêter là ?
Comment distinguer et faire la juste part des choses, entre ce qui est de l’ordre du « matériel », de la matière (ce qui nous ramène à notre ancrage, à l’ici et maintenant), et ce qui appartient plus au domaine spirituel (notion de pardon, d’acceptation) ? Souvent, on peut être tenté de s’emporter, de se mettre en colère, car à un moment donné, quelque chose ne nous a pas convenu dans la relation, et ce qui en découle nous est vraiment injuste, irrespectueux, incorrect… Et pourtant, en analysant un peu plus en profondeur cette même situation, quand on prend du recul (et un peu de sagesse…), on s’aperçoit souvent, quand on est éveillé, que la dimension karmique entre en jeu, et qu’il convient d’accepter, de comprendre, pour apprendre une leçon de vie, beaucoup plus que de s’énerver et prendre une décision abrupte, voire radicale (par exemple, décider d’une séparation sur un coup de tête, juste parce qu’une situation donnée nous a énervée).
Une autre question arrive alors… Comment être tolérant envers l’autre, sans s’oublier ? C’est-à-dire, comment garder cette dimension d’analyse et de compréhension karmique, spirituelle, sans être non plus « naïf », manquant d’action et de prise de décision ?
Où se posent les limites entre cette compréhension, et le fait de trouver sa place, développer son estime de soi et la montrer ?
Je ne vais pas répondre à toutes ces questions, juste les écrire, car la réflexion amenée est propre à chacun, à mon sens.
A cela s’ajoute le manque de communication claire, dans le moment présent (ne pas trop attendre pour évoquer un problème)… Un esprit qui analyse trop, ou une personnalité sensible, peut vite partir dans tout un tas de scénarios possibles !… Ce qui n’est pas bon, car ceci est de l’ordre de la projection, entre ce que notre mental et nos émotions brouillées génèrent, veulent voir comme une possible réalité, sans être la réalité justement…
Les blessures d’abandon, ou de rejet, vont aussi en « rajouter une couche », en faisant de nous des personnes qui n’osent pas, qui ont peur… Ces blessures émotionnelles nous font préférer le silence, car c’est souvent en écho avec des schémas familiaux liés à la petite enfance (devoir se taire, obéir, sous peine d’avoir l’impression de perdre l’amour de nos parents). Cela peut aussi venir de relations amoureuses passées, qui ont laissé des traces douloureuses dans notre coeur et notre esprit… Là encore, il est nécessaire de venir guérir en soi ce qui doit l’être, pour retrouver déjà soi un bien-être et un épanouissement durables, pour accueillir une belle relation saine ! Et ne pas reproduire de comportements inhérents à ces relations passées, voire pire, projeter sur son âme soeur les attentes et désirs vécus avec d’anciens partenaires, par manque de travail sur soi pour fermer définitivement ces portes du passé.
Nous maintenons donc parfois des comportements propices à une certaine toxicité relationnelle, plutôt que d’oser parler franchement ou travailler en conscience sur soi.
Parfois, quand il faut vraiment arrêter une relation, nous préférons maintenir cette relation, par peur de l’abandon. Ce n’est alors plus de l’amour, mais de l’attachement…
Quand on est éveillé et apte à comprendre la dimension karmique, comment distinguer la répétition karmique (transgénérationnel), de la guérison de la lignée, et le réel épanouissement personnel et à deux, par transmutation de ces énergies ?…
Quelle part de responsabilité doit-on prendre ? Faut-il seulement la prendre, l’assumer ? Ou tourner le dos et avancer ?… Les manquements de l’autre sont-ils toujours le reflet (en effet miroir) de nos propres parts d’ombre (peurs, blessures, karma…) ?
Je vous laisse encore une fois, si cela vous appelle, réfléchir sur ces interrogations.
Je termine cet article en vous invitant surtout et avant tout à vous reconnecter à votre coeur, à vos sensations dans le corps aussi, au moment où vous ressentez des émotions contradictoires, négatives, ou même, très positives, joyeuses, avec votre autre.
Essayez le plus possible de toujours revenir au coeur, et d’écouter votre sagesse intérieure, non votre ego blessé, qui peut vous emporter dans une mauvaise direction et vous faire prendre une décision toute aussi mauvaise.
Allez, hauts les coeurs, l’Amour véritable et sincère existe encore, et belle journée à vous !
Nam’Asté !
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Aujourd’hui, j’ai envie de partager ce poème, que j’ai écrit au début de ce mois de septembre.
Il évoque un sujet triste, un peu tabou (dans un monde où il faut que tout aille bien, tout le temps, que nos émotions soient contrôlées, bien lisses, et sans la possibilité réelle, sincère, de les exprimer dans l’instant, qu’ils s’agisse de la joie ou de la tristesse). Ce sujet, c’est la mort de nos parents, ce jour fatidique où le silence s’instaure, pour de bon, et que les rituels avec eux, les objets, les lieux, perdent cette vibration empreinte de leur énergie.
Je ne joue pas les pessimistes, les rabat-joie, simplement c’est une réalité, dans un monde où nous oublions notre famille et vivons isolés dans un individualisme irraisonné.
Je souhaiterais juste éveiller les consciences et se rappeler que dans la vie, il y a plein d’instants de Bonheur à créer, pourvu qu’on sache rayonner la Joie, l’Amour, les valeurs de respect et de partage.
« A tes parents vieillissant, Va les voir souvent.
Ce n’est pas lorsqu’ils seront absents, Que les chaises seront vides, Que la table sera silencieuse, Qu’ils ne pourront plus faire entendre leurs voix, Qu’il faudra être là.
C’est maintenant. Vis le Présent. Présent comme un Cadeau, La marque que dans ton coeur, Tu les portes haut !
A ton Papa et ta Maman, Sois-leur reconnaissant, offre-leur des présents. Sois remerciant, doux et bienveillant. Appelle-les, va les voir, envoie-leur une lettre, Car on ne sait jamais si demain ils seront absents. »
Nam’Asté !
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Aujourd’hui, j’ai à coeur de canaliser et de transmettre cet article, en particulier à tous les Artisans de Lumière, dont l’écriture est un outil précieux, de travail, d’expression de soi, etc. Je devrais même écrire « Artistes de Lumière », tant cette richesse est précieuse et mérite d’être valorisée !
Pourquoi j’évoque ce sujet ?
Parce que je me suis posée beaucoup de questions ces derniers temps, sur le rôle de tout rédacteur, quelle que soit la profession exercée, en ces temps de remplacement de l’intelligence humaine, par l’IA (intelligence artificielle)…
A quoi bon écrire, si un algorithme peut le faire à notre place ?… Il y a de quoi se décourager, et se sentir dévalorisé !
Oui, mais… Un texte « pondu » par une IA n’a pas la même valeur qu’un « vrai » texte rédigé par un être humain. Energétiquement, dans la vibration, cela se ressent (pour toutes les personnes sensibles, elles peuvent capter cette fréquence et savoir à quoi elles ont affaire au juste).
Donc, loin d’abandonner toute activité en lien avec l’écriture, la rédaction, la publication, j’ai canalisé qu’au contraire, nous sommes dans une période formidable pour faire redoubler de valeur notre mérite, notre existence, et notre don, notre art ! 🙂
Ceci est précieux, et aura d’autant plus une belle vibration, qu’au fur et à mesure, hélas, nous allons « plonger » dans des basses fréquences, liées à des travaux semblables à des coquilles vides, sans âme.
Rien de remplacera jamais la puissance de l’intention, émanant du coeur, donc, de l’âme !
C’est là que notre rôle de communicant sera capital et trouvera toute sa place, toute sa noblesse ! 🙂
Alors, ne baissons pas les bras, et soyons au contraire dans la Joie, car c’est notre moment de rayonner, par des textes authentiques, écrits avec le Coeur !
Nous avons choisi cette incarnation pour vivre cette expérience, et la transcender, non pour la subir et se sentir soumis… Ce serait la pire chose, ne plus avoir envie humainement d’écrire, et au contraire, céder à l’IA notre talent !
Alors, redoublons d’efficacité, de créativité, et d’abondance dans l’inspiration de nos écrits ! 😀 Car rien ne remplacera jamais le besoin de rêver, d’imaginer, et l’envie de créer, à partir d’une idée…
Et l’envie de partager, sur le Web par exemple, reste avant tout une formidable expérience de diffusion de l’information !
Personnellement, cette prise de conscience, et ces messages d’inspiration canalisés avec mes guides de Lumière, me donne encore plus de foi, de volonté, et d’idées ! (Alors qu’il y a encore quelques semaines, je traversais une période de remise en question, et de doute).
Alors, à vos plus belles plumes, chères belles Âmes !
Priez l’Archange Jophiel de vous donner la force de l’inspiration, car il est l’archange des artistes !
Nam’Asté !
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Aujourd’hui, pour terminer cette première semaine de septembre, souvent synonyme de rentrée, de retour à l’école, au travail, etc. (oui, je sais mettre l’ambiance !), j’aimerais évoquer rapidement la notion de fatigue ou d’ennui (décidément, je sais vraiment mettre l’ambiance !).
Cette semaine a pu nous ramener à une certaine réalité, à un côté sérieux, rigoureux, en rapport avec le monde du « travail » (qu’il est rude ce mot !).
Ceci a pu créer un certain état de tension, de fatigue, voire d’ennui (punaise, trop fort l’ambiance, y’a pas à dire !).
Justement, qu’est-ce qui peut créer comme ça de la fatigue, ou de l’ennui ?
Souvent, un fort décalage entre ce que nous aimerions vivre, faire, ou ce que nous projetons (comment nous idéalisons notre journée) et la réalité.
En cours de journée, ou à la toute fin, lorsque nous constatons que ce que nous avons fait est décalé par rapport à nos désirs réels, nous connaissons souvent un état de fatigue, de déception, mêlé à une forme d’ennui.
La fatigue morale, et même physique, naît souvent d’un décalage entre nos désirs et la réalité.
Plus nous sentons cette différence, plus nous nous sentons frustrés, déçus, comme inaccomplis. Notre âme ne se sent pas nourrie. Notre mental le sait, et crée ensuite des tensions dans nos émotions, jusqu’à notre corps physique.
C’est pourquoi il est important de savoir lâcher prise, de garder des objectifs réalisables, d’apprendre peut-être aussi à être moins perfectionniste, et à moins se mettre la pression en priorisant certaines tâches.
Ainsi, notre façon de vivre, d’agir, s’allège, et nous conservons une certaine forme de confiance en soi et en notre capacité à créer ce qui nous plaît.
En gardant cette motivation, même si on ne peut pas réaliser tout ce que nous avions prévu dans une seule et même journée, nous apprenons la satisfaction et le détachement.
Ce qui est nettement plus valorisant que le sentiment de déception qui peut arriver en fin de journée, entre nos souhaits et notre réalisation concrète, tangible !
C’est apprendre à garder une image positive de soi, à cultiver l’estime de soi, réapprendre aussi à faire les choses, avec moins de pression ou de contraintes (souvent auto-imposées), et à retrouver du plaisir à être et créer, en maintenant cette souplesse de l’esprit. Ceci peut ainsi éviter de dériver vers la déprime, dépression, ou le burn-out !
Un autre aspect du sentiment de fatigue ou d’ennui, est une déconnexion partielle de soi. A être trop dans le mental, on en oublie l’essentiel ! Souvent, en retrouvant une part de soi en lien avec l’enfant intérieur, on arrive à mieux se canaliser, et à se sentir nettement mieux, en étant plus présent à soi, moins exigeant, et à mieux relativiser ce qui se passe dans l’ici et maintenant.
C’est pourquoi j’évoque ce sujet, car comme je l’ai annoncé en début de semaine, je vais beaucoup partager ces prochains temps des articles, des guidances, en lien avec le fait de prendre soin de son Enfant intérieur.
Allez, un peu de couleurs, d’imagination, de vie dans l’instant présent, là au moins, ça va mettre l’ambiance !!! 😀
Je vous souhaite une excellente fin de semaine, et de bonnes résolutions pour une année scolaire riche en couleurs et haute en réalisation de soi !
Nam’Asté !
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