Bon Dimanche, belles Âmes !
Aujourd’hui, j’ai envie de partager ce poème, que j’ai écrit au début de ce mois de septembre.
Il évoque un sujet triste, un peu tabou (dans un monde où il faut que tout aille bien, tout le temps, que nos émotions soient contrôlées, bien lisses, et sans la possibilité réelle, sincère, de les exprimer dans l’instant, qu’ils s’agisse de la joie ou de la tristesse).
Ce sujet, c’est la mort de nos parents, ce jour fatidique où le silence s’instaure, pour de bon, et que les rituels avec eux, les objets, les lieux, perdent cette vibration empreinte de leur énergie.
Je ne joue pas les pessimistes, les rabat-joie, simplement c’est une réalité, dans un monde où nous oublions notre famille et vivons isolés dans un individualisme irraisonné.
Je souhaiterais juste éveiller les consciences et se rappeler que dans la vie, il y a plein d’instants de Bonheur à créer, pourvu qu’on sache rayonner la Joie, l’Amour, les valeurs de respect et de partage.
« A tes parents vieillissant,
Va les voir souvent.Ce n’est pas lorsqu’ils seront absents,
Que les chaises seront vides,
Que la table sera silencieuse,
Qu’ils ne pourront plus faire entendre leurs voix,
Qu’il faudra être là.C’est maintenant.
Vis le Présent.
Présent comme un Cadeau,
La marque que dans ton coeur,
Tu les portes haut !A ton Papa et ta Maman,
Sois-leur reconnaissant, offre-leur des présents.
Sois remerciant, doux et bienveillant.
Appelle-les, va les voir, envoie-leur une lettre,
Car on ne sait jamais si demain ils seront absents. »
Nam’Asté !
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