La fatigue, un décalage entre faire et être

Belle journée, belles Âmes ! 🙂

Aujourd’hui, pour terminer cette première semaine de septembre, souvent synonyme de rentrée, de retour à l’école, au travail, etc. (oui, je sais mettre l’ambiance !), j’aimerais évoquer rapidement la notion de fatigue ou d’ennui (décidément, je sais vraiment mettre l’ambiance !).

Cette semaine a pu nous ramener à une certaine réalité, à un côté sérieux, rigoureux, en rapport avec le monde du « travail » (qu’il est rude ce mot !).

Ceci a pu créer un certain état de tension, de fatigue, voire d’ennui (punaise, trop fort l’ambiance, y’a pas à dire !).

Justement, qu’est-ce qui peut créer comme ça de la fatigue, ou de l’ennui ?

Souvent, un fort décalage entre ce que nous aimerions vivre, faire, ou ce que nous projetons (comment nous idéalisons notre journée) et la réalité.

En cours de journée, ou à la toute fin, lorsque nous constatons que ce que nous avons fait est décalé par rapport à nos désirs réels, nous connaissons souvent un état de fatigue, de déception, mêlé à une forme d’ennui.

La fatigue morale, et même physique, naît souvent d’un décalage entre nos désirs et la réalité.

Plus nous sentons cette différence, plus nous nous sentons frustrés, déçus, comme inaccomplis. Notre âme ne se sent pas nourrie.
Notre mental le sait, et crée ensuite des tensions dans nos émotions, jusqu’à notre corps physique.

C’est pourquoi il est important de savoir lâcher prise, de garder des objectifs réalisables, d’apprendre peut-être aussi à être moins perfectionniste, et à moins se mettre la pression en priorisant certaines tâches.

Ainsi, notre façon de vivre, d’agir, s’allège, et nous conservons une certaine forme de confiance en soi et en notre capacité à créer ce qui nous plaît.

En gardant cette motivation, même si on ne peut pas réaliser tout ce que nous avions prévu dans une seule et même journée, nous apprenons la satisfaction et le détachement.

Ce qui est nettement plus valorisant que le sentiment de déception qui peut arriver en fin de journée, entre nos souhaits et notre réalisation concrète, tangible !

C’est apprendre à garder une image positive de soi, à cultiver l’estime de soi, réapprendre aussi à faire les choses, avec moins de pression ou de contraintes (souvent auto-imposées), et à retrouver du plaisir à être et créer, en maintenant cette souplesse de l’esprit.
Ceci peut ainsi éviter de dériver vers la déprime, dépression, ou le burn-out !

Un autre aspect du sentiment de fatigue ou d’ennui, est une déconnexion partielle de soi.
A être trop dans le mental, on en oublie l’essentiel !
Souvent, en retrouvant une part de soi en lien avec l’enfant intérieur, on arrive à mieux se canaliser, et à se sentir nettement mieux, en étant plus présent à soi, moins exigeant, et à mieux relativiser ce qui se passe dans l’ici et maintenant.

C’est pourquoi j’évoque ce sujet, car comme je l’ai annoncé en début de semaine, je vais beaucoup partager ces prochains temps des articles, des guidances, en lien avec le fait de prendre soin de son Enfant intérieur.

Allez, un peu de couleurs, d’imagination, de vie dans l’instant présent, là au moins, ça va mettre l’ambiance !!! 😀

Laisser vivre son enfant intérieur pour éviter tout sentiment de fatigue, ou d'ennui
Laisser vivre son enfant intérieur pour éviter tout sentiment de fatigue, ou d’ennui

 

Je vous souhaite une excellente fin de semaine, et de bonnes résolutions pour une année scolaire riche en couleurs et haute en réalisation de soi !

Nam’Asté !

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