Aujourd’hui, en ce premier jour du mois de juillet, j’aimerais revenir sur ce que nous vivons depuis quelques jours, voire quelques semaines…
Il y a une tendance à être rattrapé par le mental, à ne plus savoir écouter son coeur.
Comme un courant de folie qui nous ferait revenir à l’ancien, à savoir suivre le flot de la société, et se contenter bêtement du rythme « métro, boulot, dodo ».
Un côté « sois raisonnable », « sois sage et tais-toi »…
Une tendance au « conforme-toi » : sois une copie conforme des autres, ce qui donne en language des oiseaux : une copie con – forme (« un con qu’on forme »). Pas besoin de dessin…
Une tendance à s’effacer et à se fondre dans la masse, pour au final, s’oublier, et oublier d’être heureux.
Nouvelle devise à la mode : « c’est comme ça, et pas autrement » ?
Une tendance, je trouve, à nous couper de notre intuition profonde, sincère, et véritable. Une envie de nous couper de notre vraie personnalité.
Notre côté intuitif est pourtant notre boussole : l’intuition nous guide et nous sauve de bien des situations !
Seulement voilà, on focalise tout sur l’aspect mental, la réflexion, quitte à s’oublier et à perdre pied (c’est-à-dire perdre son ancrage).
J’ai trouvé que ce mois de juin avait été très pernicieux, très troublant, et qu’une certaine lourdeur s’était installée, en vue justement de nous faire perdre notre côté intuitif, ce côté « âme d’enfant » qui vient nous parler et nous dire de suivre nos rêves…
Comme s’il fallait sans cesse se justifier, avec cette sensation désagréable de se laisser rattraper par un monde matérialiste, matriciel. Un côté moquerie, jugement, se sentir rabaissé.
Vous avez d’ailleurs été nombreux à me faire part de ce constat désagréable.
J’ai donc eu le sentiment le mois dernier que tout ce qui touche à la réflexion ou à l’action « de pleine conscience » a été impacté. Comme si c’était un concept, une façon d’être, d’agir, complètement risible, ridicule, has been…
Le culte du toujours plus vite, toujours plus, l’emporte sur le recentrage sur soi et l’action réfléchie, mûrie, qui privilégie la coordination corps, âme et esprit.
En gros, sois déconnecté de toi-même, produis, ferme-la, contente-toi de ce que tu as, et continue… Ferme-toi de tes sentiments, de tes rêves, et arrête de te plaindre. Ta vie est pourrie, mais dis-toi qu’il y a pire que toi, alors sois heureux comme ça.
Et en parallèle, en essayant de maintenir cet état de pleine conscience, c’est une paix profonde, une harmonie intérieure retrouvée, une sensation de douce sérénité, qui laisse la place à l’Abondance et aux expériences enrichissantes pour l’évolution de notre âme.
Je constate donc personnellement le fossé qui se creuse entre un monde non conscient, non éveillé, dont le mode de fonctionnement est très linéaire voire mortel, et au contraire, un monde éveillé, ouvert d’esprit, prêt à évoluer et à être dynamique.
Ce qu’on nomme l’opposition entre le monde ancien, 3D, et le monde à venir, en 5D.
Tout s’accélère, et les prises de conscience avec : ce n’est donc pas étonnant qu’on cherche à verrouiller toute réflexion, ou tout sentiment de remise en question !
On nous demande plutôt de lâcher prise, de s’ouvrir au Monde et à tous les possibles.
N.B. : Cette dernière phrase me fait évoquer la boussole, que j’ai citée plus haut, encore appelée « la rose de vents » : un symbole fort que je vous invite à découvrir ou à redécouvrir en symbolique spirituelle ! 😉
Je vous souhaite un excellent week-end. Prenez bien soin de vous !
Nam’Asté.