La représentation du Bien et du Mal

L’ère du Verseau, l’Ascension de Gaïa de la 3D vers la 5D, amène à reconsidérer les notions de Bien et de Mal.

Il apparaît maintenant évident que deux camps s’affrontant reste une représentation « médiévale », dépassée.

L’énergie Est. Elle s’étend et s’amplifie à travers le Cosmos et chaque âme.

C’est la définition même de la Transmutation. Ce qu’on appelle « négatif » est une énergie basse appelée à monter et à devenir elle-même positive.
Tout se transforme, évolue, dynamiquement et magnétiquement.

Il n’y a pas de séparation, avec d’un côté, un camp des « gentils », et de l’autre, un camp des « méchants ». C’est une vision de la dualité, qui oppose plus qu’elle ne rassemble comme le veut l’Amour divin.

Voici un schéma de la représentation de ces énergies telles que je me les représente (je m’excuse pour mon niveau de dessin !) :

Energie ascendante et transmutation
Energie ascendante et transmutation

 

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La représentation du Bien et du Mal
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L'ère du Verseau, l'Ascension de Gaïa de la 3D vers la 5D, amène à reconsidérer les notions de Bien et de Mal.
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Nouvelle Renaissance
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3 réponses sur “La représentation du Bien et du Mal”

  1. S’excuser c’est ce diminuer, et ton dessin est parlant donc… rien ne sert de s’excuser, tout est au point !

    Ce matin il m’est revenu une impression déjà ressenti il y a de nombreuses semaines et à quelques reprises depuis 9 mois. Fugace au départ, elle prend chaque fois plus de sens, et ce matin j’y ai vu encore plus de clarté, et comme par enchantement je lis tes mots.
    Le mal, la magie noire, les reptiloïdes, l’enfer, Satan, les démons, les méchants… bref l’ombre n’est qu’illusoin, tout n’est qu’une question d’interprétation par nous-même, dans notre coeur en 3D, dans notre égo, notre mental. Dans notre monde matériel, rationnel, conditionné.

    Le seul mal qui existe est celui que nous nous imaginons, nous créons notre propre réalité sont des mots que j’ai souvent vu passer ces derniers mois. Et bien oui, à croire en effet. Les sentiments de basses fréquences nous amènent à émettre des énergies de basses fréquences, perçues par nous et par ceux qui nous environnent. Transmuter ces énergies négatives en énergies positives c’est contribuer à changer notre réalité, à la rendre plus belles, plus heureuses. Emettre des énergies positives c’est permettre d’aider à élever, attirer, transmuter les énergies négatives.

    Alors à la tâche ! Détachons nos sentiments de tout ce noir pour faire briller le blanc, ce raviveur de couleur pour vivre la vie en Arc-en-ciel. Enfin c’est ce que je dis, c’est ce que je vis. A chacun son chemin.

    1. Salut,
      Un désaccord sur les excuses… S’excuser n’est pas mieux que ne pas s’excuser.
      Pourquoi?
      Parceque présenter ses excuses c’est plus élégant, c’est faire preuve d’humilité, c’est lâcher prise avec les ego mental spirituel. Parceque présenter ses excuses c’est dire à l’autre « je te vois », c’est considérer qu’il existe et l’aider à en (re)prendre conscience.
      Parceque présenter ses excuses c’est considérer le tort qu’on a causé, car nous sommes tous incarnés, imparfaits. Et ce tort, avec ou sans incidence sur l’évolution globale, aura blessé l’autre dans sa temporalité.
      Parceque présenter ses excuses, c’est montrer de l’empathie et ça vaut un « je t’aime », et je doute que quiconque ne puisse en savourer la chaleur malgré quelques rares faux-semblants.
      Parceque présenter ses excuses s’est offrir à l’autre le choix d’accepter ou de refuser, d’avoir son libre arbitre d’évoluer ou de stagner.
      Parceque si t’inverses les rôles, tu préfères quoi?
      Et enfin parceque presenter ses excuses c’est la politesse, une convention collective qui appaise rapidement ce qui peut devenir un conflit n’apportant que des perdants.
      Se refuser aux excuses c’est se comporter de manière égocentrique, nier qu’on est relié à quelquechose de plus grand et le polluer: comme jeter une pile électrique dans un lac en disant que dans des millénaires on ne fera pas la différence.
      Si ton action provoque des consequences alors que tu souhaites le neutre zero, compenser est urgent. Quoi qu’il arrive, une action amène une reaction. Si tu ne t’excuses pas, le retour va prendre la forme d’une claque… l’univers ne changera pas, mais toi, aïe!

      Le bien, le mal… de nombreux écrits sont anciens. Rédigés à l’attention « des enfants » qui ne savaient pas lire, et il fallait leur expliquer, les instruire. L’axe manichéen vices-amour, bien-mal , c’est une simplification caricaturale pour rendre la compréhension accessible. Après, à chacun d’interpréter à son propre niveau. L’évolution du sens des mots, les tournures et concepts devenus desuets n’aident pas à les prendre au sérieux… un peu de recul est nécessaire pour voir se dessiner un tableau de la réalité qu’ils représentent.
      Est-ce que crier au manichéisme, à la manipulation des foules par des histoires à dormir debout sert quelqu’un ou même quelquechose? Vouloir absolument découvrir mieux que les autres ne l’ont fait, ne serait-ce pas un débordement d’un certain égo ? 😉
      Transmuter, reformer… je ne brûle pas les livres, et je m’interroge sur la manière de m’y prendre sur moi même pour commencer.
      As-tu lu le Petit-Prince plusieurs fois? C’est l’exemple type.

      Ceci n’engage que moi qui passe par là pour trouver les ref. de l’ouvrage de référence des gaiens: j’y connais rien et j’aimerais mettre un terme à mon ignorance totale sur ce… ha ben zut, je sais même pas comment on dit… « mouvement spirituel?? »

      Réponse attendue svp. Merci 🙂

      1. Bonjour Sylvain,

        Je prends aujourd’hui le temps de répondre. Enfin vous direz-vous peut-être. Mais tout arrive toujours à point nommé à qui sait attendre. Je parle là pour moi, avant n’était pas Mon moment.

        Le sens de ma phrase sur les excuses était un clin d’œil à Aurélie que je connais personnellement et qui faisait référence à nos discussions, sans cet écho, difficile pour les autres d’y voir clair ! Je suis d’accord sur la réflexion des excuses avec évidemment mes propres nuances personnelles, qui n’engage que moi pour reprendre vos mots.

        Dire je m’excuse en lieu et place de je t’aime me semble une fuite, l’Homme ne prononce pas assez le je t’aime, trop de tabous y sont liés, pour mon vécu en tous les cas. Dire je t’aime à tout va peut aussi faire perdre la valeur de ses mots car la gorge est l’outil de communication du coeur et les deux « devraient » être lié, l’expression de coeur et d’esprit prend tout son sens ici pour moi, et de corps et d’esprit. Sain, saint, sein. Je joue énormément avec les mots et leur sens, résonance, consonance. Je transmute leur goût de rance.

        Le manquement, qui à l’esprit du manque.
        Il me manque trop à dire je t’aime me viens à l’esprit.
        Ment, qui fait penser au mensonge. Ment ce suffixe ablatif, que de sens lourd dans ces mots encore une fois. L’ablation du mensonge. Ablatif qui est le point de départ de la séparation, de l’éloignement.

        Le manquement de ces mots 3 mots, Je T’Aime – Moi Toi Aime – Aimons-nous, Jète Toi A l’eau et Parle Ecrit, Par l’écrit, Parle et Crie. Crie ces 3 mots, ses 3 mots, tes 3 mots : Je t’aime, Excuse moi, Excuse-moi de t’aimer. Car l’amour n’est pas toujours partagé. Excuse-moi aussi de t’aimer non pas comme tu es mais comme je voudrais que tu sois. Pardonne-moi cet amour « mal placé », placé au rang de l’esprit et non du coeur. Pardonne-moi ma rancoeur, car aujourd’hui je la remets au rang du coeur. Il me vient en tête ces mots d’une chanson de Joëlle Mellioret : Et me replace dans le rang de ma lignée avec le coeur. Cette phrase est d’une très forte puissance de sens lorsqu’on joue avec les mots. A les écrires et les récrires, à les dire pour en entendre la raisonnance qui résone à notre coeur.

        Inverser / Renverser est en ce moment une très forte invitation qui m’est faite, mets faite, mes faits, défaire les méfaits pour manger les mets de fête à savourer sans modération.
        Vices, vicer/dévicer, visser/dévisser. Dévisser le vice et visser le bien, encore de l’encre/ancre qui peut être dé-versée pour mettre en lumière des maux par les mots, des mots pour guérir les maux.

        Les histoires à dormir debout me ramènent aux mensonges, les songes qui mentent tout comme à l’esprit du songe, tout est question de reflet, de miroir, d’interprétation. Interpréter selon ce qu’on ressent mais aussi se mettre dans la peau de l’autre. Qu’a-t-il voulu vraiment dire, c’est parfois juste le sens 1er de la phrase. En amour pour revenir à lui et aux excuses, les songes des princesses qui veulent croire au prince charmant, charmant-marchand, marchand de bonheur-marchand de tapis !

        Vous parlez de convention collective, cette convention des professions sociales, ou pas sociales d’ailleurs, autant de convention que de profession, où est donc cette collectivité ????? Dépend-elle de cases elle aussi, à l’administration française comme tu es lourde, de poids et de sens. Les conventions qui me ramènent aux masques que l’on porte justement pour paraître bien incarné dans le moule de la société. Incarné, 1/4 né, Un-carnée encore autant de jeux de mots, de jeux de l’égo. Joue aux Légo avec ton égo, l’univers aime à rire alors lâche-toi ! Pète de rire un bon coup dans ton masque (à gaz) qu’il se décroche et s’envole au vent de la tempête, de la liberté en pleine tempête.

        Enfin, car quand je suis lâchée on ne m’arrête plus. Tiens donc il me vient fâchée. C’est vrai que la première lecture de votre réponse m’a fâché, dans le sens ou j’avais écrit à Aurélie avec cette première phrase d’introduction c’est que Tout est bon et juste. Je vous ai relu une, deux, trois fois, mais c’est aujourd’hui que toute sa tonalité à changer pour moi, mon moment est venu pour comprendre ce qui m’avait fâché, pourquoi et comment m’en défaire et libérer ces noeuds, n’eux, eux qui m’encombraient.

        Enfin donc, comme je l’ai dit plus haut en fait :

        Tout est bon et juste et tout arrive à point nommé, en temps et en heure car le temps est révolu. Tous les temps, celui qui passe comme celui qui conjugue, qu’on jugue, qu’on juge… Ouvrons les bras pour accueillir ce qui arrive et le moment où cela arrive, tout est normal et tout va bien… dans le meilleur des mondes. Comme je suis candide me dit le vol des mots de terre que je ne veux plus taire.

        Alors les n’eux, tous ces Sylvains qui ont croisés ma route, que j’ai aimé, celui que j’ai quitté, chassé je vous dis :

        JE M’EXCUSE ET JE T’AIME

        Merci Sylvain 974 pour votre réponse, elle m’a rendu ma liberté.

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