Aujourd’hui, où on célèbre Sainte Thérèse de Lisieux, je partage avec vous un petit rituel qui lui est dédié, et qu’on peut réaliser seul, ou en famille, ou bien encore avec des amis qui partageront aussi cette idée…
Je viens de le découvrir cette année (merci Marjorie ! 🙂 ), et peut-être que vous le connaissez déjà, mais ce rituel consiste à écrire une lettre de voeux à Sainte Thérèse.
Il s’adresse à tous, et est proposé aux pèlerins qui se rendent au sanctuaire de Lisieux chaque année, le 15 octobre, jour de sa fête.
La particularité est que cette lettre est renvoyée à son auteur l’année suivante, et elle permet de constater si les voeux demandés, les intercessions, les grâces, etc., ont été entendus par le Ciel et exaucés…
En étant aligné avec son Coeur, on peut tout à fait réaliser ce rituel chez soi, si on n’a pas l’occasion d’aller à Lisieux.
Le principe étant d’écrire en conscience, toutes nos demandes, nos gratitudes aussi… C’est l’occasion de se poser, d’instaurer un moment de calme et de recentrage, pour écrire une lettre avec une belle vibration.
Comme il s’agit d’une demande auprès de Sainte Thérèse de Lisieux, on peut choisir un endroit calme, préparé exprès pour l’occasion, où on aura pris soin de placer une rose, allumer une bougie, pourquoi pas aussi agrémenter avec des plumes, pour honorer les Anges…
Ensuite, pour garder le principe initial de la lettre déposée à Lisieux, on peut garder cette lettre un peu « cachée » chez soi, puis la relire, en conscience, un an après, et constater si nos demandes ont été exaucées. 🙂
N.B. : Sainte Thérèse est invoquée pour la Paix, l’Harmonie, la Libération, par exemple pour équilibrer des énergies dissonnantes (conflits familiaux restés « secrets » et dont le poids pèse encore sur les générations suivantes, lieux chargés où se sont produits des guerres, des conflits, pour des soins en géobiologie…).
Sainte Thérèse symbolise à elle seule un pur rayon d’Or et une pluie de roses, qui apporte la Paix et harmonise toutes les énergies touchées.
Bonne activité d’écriture, si le coeur vous en dit, et « mère veilleux » dimanche à vous ! Nam’Asté !
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